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A se maquiller d'absence
Traversins hantés
Par des coalitions d'ombres natales
Elles-mêmes bordées de voies ferrées
Qui rouillent et crissent
Et montent dans le silence bleuté
Qu'une protection indiscernable
Chargée d'intentions galopantes
Maculées de forces inexterminables
Archicentenaire sur le palier de l'émoi avide
De Comètes en vacillations stellaires
Qui Se configurent pour la révélation saliveuse
Résignée en attendant mieux
A se maquiller d'absenceSous un ruissellement écarlate
Assignant l'espoir aux calendes grecques
Et les voeux altiers au fracas des atavismes instinctifs
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Grappes de jour qui pénètrent la chambrée d'un hiver nu
Aboiements sur goudron frais
Dans l'axe tout se détraque
Assis à la terrasse du bistrot de l'en-bas.
Piquetée d'obscurité
La rivière nue emporte
Orties et emballages
A tourbillons perdus
Se déploie le courant d'éther
Le ciel se referme
Troué de pluie
Mordant nos sens
Sur la grève esseulée
Le froid dresse son lit
Laissant les corps bordés en catimini
Par le gel élémentaire
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